Vers Buffalo, Alphitobius diaperinus, vivants, taille : 0,5 à 1 cm - en sachet de 1 litre.
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Les vers Buffalo se distinguent par leur richesse en protéines, avec plus de 50 % de protéines brutes.
Ces protéines sont essentielles pour assurer la croissance des oiseaux, soutenir la mue ainsi que la santé de leur masse musculaire.
De plus, les vers Buffalo apportent tous les acides aminés essentiels, souvent absents dans l’alimentation traditionnelle à base de graines ou de granulés.
Leur teneur en lipides, comprise entre 20 et 30 %, constitue une source d’énergie idéale, sans excès nocif. Sur le plan micronutritionnel, ils sont également une source précieuse de minéraux tels que le calcium, le phosphore et le fer, ainsi que de vitamines du groupe B, bénéfiques pour la solidité des os, la qualité du plumage et le bon fonctionnement du système immunitaire.
L’introduction de vers Buffalo dans l’alimentation permet d’enrichir le quotidien des oiseaux domestiques. Le fait de devoir chasser ou picorer ces vers sollicite l’instinct naturel de fouissage, ce qui contribue à réduire l’ennui et limite l’apparition de comportements stéréotypés, comme l’arrachage de plumes. Cette diversité alimentaire est particulièrement appréciée par les espèces insectivores, telles que les merles, les étourneaux ou certains perroquets.
Les vers Buffalo sont disponibles sous forme séchée ou vivante. Les vers séchés se conservent facilement et longtemps tout en étant simples à doser. Les vers vivants, quant à eux, peuvent être élevés à la maison, offrant ainsi une source de nourriture fraîche et économique. Ils conviennent à tous types d’oiseaux : granivores (canaris, perruches), insectivores (rouge-gorges, mésanges) et omnivores (poules, cailles).
L’élevage des vers Buffalo s’avère être une alternative durable : il nécessite peu de ressources, puisqu’il se fait à partir de déchets organiques et sur un espace réduit. En outre, leur production génère moins d’émissions de CO₂ que les sources de protéines animales traditionnelles comme la viande. Sur le plan économique, ils sont généralement moins onéreux que les vers de farine (Tenebrio molitor) ou les grillons, tout en offrant un profil nutritionnel tout aussi intéressant.
L’apport en protéines et autres nutriments des vers Buffalo contribue à renforcer le système immunitaire des oiseaux et à prévenir les carences, notamment lors de périodes sensibles comme la reproduction ou la mue. Leur exosquelette, plus souple que celui des vers de farine, facilite la digestion, ce qui les rend particulièrement adaptés aux oiseaux les plus sensibles.
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